Déléguer son podcast sans perdre le contrôle ?C’est exactement ce qu’a fait Géraldine.
Et si tu te demandes à quoi ressemble une collaboration fluide, fiable et durable entre une CEO engagée et structurée et une podcast manager (moi ), ce retour d’expérience va t’éclairer.
Géraldine, c’est la voix derrière TUBA, un podcast qui donne la parole aux entrepreneurs qui pensent autrement le business, la stratégie, la posture. Depuis plus de deux ans, on bosse ensemble sur toutes les coulisses de son podcast : montage, coordination, communication, publication… plus de 80 épisodes pilotés à deux — et pourtant, elle te dira qu’elle ne “gère” presque rien. Intriguant, non ?
Dans cet article, elle revient sur comment elle a progressivement délégué la gestion de son podcast, pourquoi elle ne l’aurait jamais tenu seule, ce qui a changé dans son quotidien… et ce qu’elle dirait à quelqu’un qui hésite à franchir le pas.
Pourquoi déléguer la gestion de son podcast ?
Le piège du tout-faire-soi-même
Quand on démarre un podcast, on se dit qu’on va tout faire soi-même. Parce qu’on veut tout maîtriser, parce qu’on n’a pas encore les moyens de déléguer, ou simplement parce qu’on ne connaît pas d’autre manière de faire. Mais très vite, ce choix devient un poids.
« Je faisais tout, sauf le montage. Et à un moment, j’ai chopé un gros client… je me suis dit : soit j’arrête le podcast, soit je délègue. »
Géraldine a commencé avec le montage, parce que c’était ce qu’elle redoutait le plus :
« J’avais zéro envie d’apprendre à monter. J’allais perdre des heures, et je ne voulais pas entendre ma voix en boucle. C’était mort. »
Ce refus de se cramer sur la technique a été la première porte vers une délégation plus profonde. Parce qu’on ne peut pas tout faire bien, tout le temps. Et surtout, parce qu’on n’a pas à le faire seule.
« À un moment, j’ai vu que ça roulait hyper bien, qu’on anticipait, qu’on batchait. Je me suis pas posé la question de faire avec quelqu’un d’autre. »
Déléguer, c’est garder ce qui fait kiffer
Le but de déléguer, ce n’est pas juste “gagner du temps”. C’est surtout garder du plaisir, préserver son énergie, rester alignée avec ce qui nous fait vibrer.
« Aujourd’hui, j’ai la partie méga cool. J’échange avec les invités, j’enregistre, et c’est tout. Le reste, c’est toi. »
Derrière cette phrase, il y a une réalité : déléguer la gestion de son podcast, c’est créer un écosystème où l’on peut continuer à prendre du plaisir tout en restant régulière.
« J’ai pas l’impression de gérer un podcast. J’ai juste l’impression de m’amuser. »
Et c’est aussi ce qui inspire autour de soi : les invités sentent que c’est fluide, les retours sont pros, et les clients continuent d’arriver. Parce que déléguer, c’est aussi transmettre une image de solidité, de structure, de professionnalisme.
« On me demande souvent : « Mais comment tu fais pour tout gérer ET avoir un podcast ? » Ma réponse, c’est Gaétane. »
Comment choisir le bon podcast manager ?
Déléguer, c’est une chose. Mais déléguer à la bonne personne, c’est tout autre chose. Si tu as l’impression que personne ne comprendra jamais ton univers, ton niveau d’exigence, ou ta manière de bosser… je te rassure, tu n’es pas la seule. Ce que Géraldine cherchait, c’était pas juste une technicienne. C’était une partenaire, une alliée de fond.
Une relation de confiance, ça se sent tout de suite
« Ce qui m’a donné envie ? Ton calme, ton organisation, le fait que tu posais les bonnes questions. »
Dès le premier échange, elle a senti qu’il y avait un terrain commun. Une manière de bosser alignée, avec des outils qu’on maîtrise toutes les deux (coucou Notion), une communication fluide, sans sur-sollicitation, et une clarté dans l’offre.
« Ton offre était super claire. Je savais que c’était dans mon budget, donc la vraie question c’était : est-ce qu’on a envie de bosser ensemble ? »
La confiance ne vient pas d’un grand discours. Elle vient d’une écoute sincère, d’un cadre bien posé, et d’un vrai respect du temps et des compétences de l’autre.
Ce qui compte : la fiabilité et la douceur
Géraldine parle souvent de notre duo comme d’un mix d’efficacité et d’humanité. Et franchement, c’est exactement ce que je cherche à créer avec chaque cliente.
« Je dirais qu’on est organisées, humaines et fiables. Il y a une douceur dans notre collaboration, c’est hyper agréable. »
Et ce n’est pas un hasard si elle me dit que je suis la seule prestataire sur qui elle se repose autant depuis qu’elle a lancé Meraki.
« Clairement, je peux me reposer sur toi les yeux fermés. »
Ce que ça veut dire ? Que le bon podcast manager, ce n’est pas juste quelqu’un qui gère tes deadlines. C’est quelqu’un qui porte ton podcast avec toi, qui comprend ta vision, et qui tient la route dans le temps.
Ce que déléguer a changé pour Géraldine
Déléguer son podcast, ce n’est pas juste cocher une case dans sa to-do. C’est une transformation profonde de la façon de travailler… et de vivre son business. Pour Géraldine, ce shift a été radical.
Elle n’aurait jamais tenu 80 épisodes seule
« Sans toi, j’aurais fait cinq épisodes et je me serais arrêtée. »
Tu lis bien : 5. Pas 80. Parce que la régularité, la tenue dans la durée, ça ne repose pas sur la motivation. Ça repose sur un système. Sur une collaboration solide, sur un cadre fluide, sur le fait de ne pas être seule à porter le podcast sur ses épaules. Aujourd’hui, TUBA est un rendez-vous attendu, structuré, qui vit dans la durée grâce à cette délégation progressive et intelligente.
Elle garde la maîtrise sans micro-manager
« Tout est calé. J’ai plus qu’à copier-coller. Le process se déroule sans moi. »
C’est le Graal : continuer à être l’âme du projet sans avoir à gérer chaque détail. Géraldine n’a jamais cherché à “abandonner” son podcast. Elle a cherché à le professionnaliser, à le faire vivre de manière pérenne sans que ça devienne une charge mentale.
« Je ne m’occupe que de ce que je kiffe : les échanges avec les invités. Le reste, c’est toi. »
Ce n’est pas un abandon, c’est une stratégie. Déléguer, c’est libérer de l’espace pour son cœur de métier, pour ses clients, pour sa créativité.
« On me demande souvent : « Mais tu as un podcast EN PLUS de tout ce que tu fais ?! » Et ma réponse, c’est simple : c’est possible parce que je ne suis pas seule. »
Et c’est pour ça que je ne me sens pas uniquement comme prestataire. Mais comme partenaire. Une présence qui sécurise, qui structure, qui propulse.
Ce qu’elle dirait à quelqu’un qui hésite à déléguer
On ne va pas se mentir : déléguer son podcast, c’est souvent flippant. Pas parce que tu n’en as pas envie. Mais parce que c’est ton bébé. Tu veux que ce soit bien fait. Tu veux que ce soit respecté. Tu veux que ce soit toi, même quand ce n’est pas toi qui t’en occupes. Géraldine le sait. Et elle comprend parfaitement cette hésitation :
« C’est un peu difficile de déléguer, en général. Et un podcast, c’est particulier. C’est intime, c’est à ton image. »
Alors son conseil, il est simple. Et redoutablement juste.
Y aller par étapes
« Commence par le truc qui te plaît le moins. C’est souvent le plus facile à lâcher. »
Pas besoin de tout filer d’un coup. Tu peux commencer par le montage. Ou la planification. Ou les visuels. Peu importe. Ce qui compte, c’est de créer un espace de respiration. Une première victoire. Une première confiance. Et puis, avec le temps, tu verras :
« On peut y aller par petites touches. Et se dire : tiens, ça aussi je peux le déléguer… et ça aussi. »
C’est exactement ce qui s’est passé entre nous. D’un appui technique, on est passées à une collaboration complète. Parce que la confiance, ça se construit. Mais surtout : ça libère.
Ce qui fait une collaboration qui dure
Ce n’est pas juste une affaire de process bien ficelés, ni d’un bon tarif. Ce qui fait qu’une collaboration dure, c’est la solidité dans les moments imprévus, la capacité à se recommander avec enthousiasme, et l’envie de construire à deux dans le temps.
La capacité à gérer les imprévus
Un podcast, ce n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Et les fails… il y en a eu.
« Le micro qui n’enregistre pas. Les bruits de chiens. Les boucles d’oreilles qui gling-gling. Le réenregistrement qui était un carnage pour moi. »
Mais à aucun moment ça n’a mis en péril le projet. Parce que derrière, il y avait une gestion pro, fiable, adaptée à la vraie vie.
« Je pense que c’était plus chiant pour toi que pour moi, parce que moi je ne les entends pas pendant. Mais je sais que tu gères. »
Et ça, c’est aussi ce qui fait la différence entre une prestation qui dure… et une collaboration qui s’essouffle.
Une recommandation qui parle plus fort que n’importe quel argumentaire
« Je t’ai déjà recommandée, tu le sais. Parce que tu bosses hyper bien, t’es fiable, t’es pro. Et les invités le disent aussi. »
Ce que Géraldine dit ici, c’est qu’elle me vend mieux que n’importe quelle pub. Elle est la preuve vivante que ça fonctionne. Et ce qu’elle a vécu, d’autres peuvent l’avoir aussi.
Une vision qui se construit à deux
« Ce que je veux, c’est continuer à faire évoluer TUBA. Réfléchir à la direction de chaque saison. Expérimenter. Créer tant que ça nous fait kiffer. »
Ce n’est pas juste une prestation ponctuelle. C’est une démarche co-créative. Une relation où la Podcast manager accompagne la cliente dans le temps, dans le fond, et dans l’évolution du projet. Et c’est rare. C’est précieux. Et ça mérite d’être mis en lumière.
Envie d’aller plus loin ?
Si ce retour d’expérience t’a parlé, alors tu vas adorer écouter le podcast TUBA. Géraldine y partage des conversations profondes, concrètes et inspirantes avec des entrepreneurs qui osent penser et faire autrement. C’est le podcast parfait pour challenger ton business model… et t’autoriser à créer à ta façon.
Écoute TUBA sur ta plateforme préférée.
Et si tu veux aller encore plus loin dans l’organisation de ton activité — sans sacrifier ta liberté ni ton plaisir — je ne peux que te recommander son programme TETRIS. C’est un accompagnement concret pour structurer ton business, reprendre la main sur ton temps et poser des fondations solides pour scaler sans te griller.
Et si, comme Géraldine, tu veux déléguer ton podcast pour te concentrer sur ce que tu aimes vraiment — transmettre, connecter, créer , alors peut-être qu’on est fait pour bosser ensemble.
